Tu as l’argent ? demanda la tante (11)
– Ah ! voilà Blanche ! cria-t-elle. C’est elle qui m’a dit que tu avais couché avec Nana.
– Ah ! voilà Blanche ! cria-t-elle. C’est elle qui m’a dit que tu avais couché avec Nana.
Alors, ces dames discutèrent. Mais leurs voix demeuraient discrètes, de légers rires par moments coupaient la gravité de la conversation. Les deux lampes de la cheminée, recouvertes d’une dentelle rose, les éclairaient faiblement ; et il n’y avait, sur des meubles éloignés, que trois autres lampes, qui laissaient le vaste salon dans une ombre douce.
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Justement, ce jour-là, comme Nana sommeillait vers deux heures, Zoé se permit de frapper à la porte de la chambre. Les rideaux étaient tirés, un souffle chaud entrait par une fenêtre, dans la fraîcheur silencieuse du demi-jour. D’ailleurs, la jeune femme se levait maintenant, un peu faible encore. Elle ouvrit les yeux, elle demanda :
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– Moi, dit Caroline Héquet de son air posé, je pars après-demain pour Londres… Maman est déjà là-bas qui m’installe un hôtel… Bien sûr, je ne vais pas me laisser massacrer à Paris.
Zoé en avait mis partout ; et elle faisait remarquer que l’appartement était très commode, chaque pièce ouvrant sur le corridor. Ce n’était pas comme chez madame Blanche, où il fallait passer par le salon. Aussi madame Blanche avait-elle eu bien des ennuis.
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