– Que diable ! mangez, vous avez bien le temps ! répétait Bosc, la bouche pleine. Attendez que nous ne soyons plus là.
Lire la suite de Oui, oui, on y va, père Barillot, répondit Fontan, ahuri (2)
Nana avait donc trouvé le moyen de suffire à tout. La maison, certains jours, regorgeait de nourriture. Deux fois par semaine, Bosc prenait des indigestions. Un soir que madame Lerat se retirait, enragée de voir au feu un dîner copieux dont elle ne mangerait pas, elle ne put s’empêcher de demander brutalement qui est-ce qui payait. Nana, surprise, devint toute bête et se mit à pleurer.
Lire la suite de Alors, je le souffletterai en pleine rue (5)
– Ah ! je suis une coquine, reprit-elle avec lenteur ; Ah ! il faudra arracher le futur beau-père de mes griffes… Eh bien ! vrai, pour un garçon intelligent, tu es joliment bête ! Comment ! tu vas faire des cancans à un homme qui m’adore et qui me répète tout !… Écoute, tu te marieras si je veux, mon petit.
Lire la suite de Pourquoi donc ? demanda-t-elle, sérieuse, un peu dégrisée (4)
– Ma fille, où il y a des femmes, il y a des claques. C’est Napoléon qui a dit ça, je crois… Lave-toi avec de l’eau salée. Excellent, l’eau salée, pour ces bobos. Va, tu en recevras d’autres, et ne te plains pas, tant que tu n’auras rien de cassé… Tu sais, je m’invite, j’ai vu un gigot.
Lire la suite de Ce souper, pour demain… Tu aurais bien pu me faire inviter (2)
– Ah ! mon gaillard, vous insultez Fontan ! reprit Mignon, poussant la farce. En garde ! Une, deux, et v’lan dans la poitrine !
Lire la suite de Eh bien, quoi ? dit-elle sans se retourner (7)