Tout le landau retrouvait des mots, des exclamations. On se grandissait, on suivait des yeux les taches éclatantes des jockeys qui filaient dans le soleil. À la montée, Valerio II prit la tête, Cosinus et Hasard perdaient du terrain, tandis que Lusignan et Spirit, nez contre nez, avaient toujours Nana derrière eux.
Lire la suite de Par prudence, dans l’antichambre, elle donna un ordre à Zo (7)
– Ces dames sont trop sévères. L’existence est si mauvaise pour tout le monde… N’est-ce pas, mon ami, on doit pardonner beaucoup aux autres, lorsqu’on veut être soi-même digne de pardon ?
Lire la suite de Mais elle ne put continuer son explication, un cri s’élevait
– On est laid, quand on est mort, dit-elle d’une voix lente.
Lire la suite de Madame, murmura-t-elle, le coiffeur est l (5)
– Si vous avez honte de ma famille, eh bien ! laissez-moi, parce que je ne suis pas une de ces femmes qui renient leur père et leur mère… Il faut me prendre avec eux, entendez-vous !
Lire la suite de Et je termine par mille baisers , murmura-t-elle (3)
Mais quelqu’un la touchait par derrière, et elle fut surprise, en se retournant, d’apercevoir Mignon sur la banquette. Elle disparut un instant, elle s’assit à son côté, car il venait lui communiquer une chose grave. Mignon disait partout que sa femme était ridicule d’en vouloir à Nana ; il trouvait ça bête et inutile.
Lire la suite de Tu sais, mon cher, moi je trouve Nana très bien (2)