Pourquoi ne m’as-tu pas dit que tu connaissais Nana (9)
– Mais sans doute, dit-il étonné, puisque ton enfant va mieux.
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– Mais sans doute, dit-il étonné, puisque ton enfant va mieux.
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– Lui ! ah bien ! ma chère, si vous croyez qu’il va monter !… C’est déjà beau qu’il m’ait accompagnée jusqu’à la porte… Ils sont près d’une douzaine qui fument des cigares.
Et, comme elle refusait de paraître, secouée encore, riant déjà pourtant, il ajouta d’une voix bourrue et paternelle :
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Le petit, sans parler, se laissa essuyer les mains. La jeune femme avait pris son mouchoir. Elle tamponna ensuite Bijou, qui tremblait plus fort. Ce ne serait rien, quelques tâches sur le satin blanc de sa toilette ; mais elle s’en fichait. Les bouquets, rafraîchis, avaient un éclat de neige ; et elle en respirait un, heureuse, mouillant ses lèvres comme dans de la rosée.
Tout en parlant, Zoé, la femme de chambre, ouvrait les persiennes. Le grand jour entra. Zoé, très brune, coiffée de petits bandeaux, avait une figure longue, en museau de chien, livide et couturée, avec un nez épaté, de grosses lèvres et des yeux noirs sans cesse en mouvement.