Elle ne répondit pas, la face changée, tout d’un coup à son affaire. D’un rapide mouvement des épaules, elle avait-fait glisser sa fourrure, que madame Jules, debout derrière elle, reçut dans ses bras. Et, nue, après avoir porté les deux mains à sa chevelure, comme pour l’assujettir, elle entra en scène.
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– Eh bien ! et cette chère enfant ? dit-il familièrement à Muffat, qu’il traitait en mari. Diable ! nous l’avons fait causer !
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– Vois donc ! dit-elle, arrêtée de nouveau devant un bijoutier, quel drôle de bracelet !
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Et cette dernière idée l’étrangla d’un tel regret, qu’il finit par la consoler. Allons, elle devait se montrer forte ; elle avait raison, ce n’était pas sa faute. Mais elle s’arrêta d’elle-même, pour dire :
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Ils parlaient du comte Muffat. C’était une entrevue ménagée par Labordette sur un terrain neutre. Il avait eu une conversation sérieuse avec Bordenave, que deux échecs successifs venaient de mettre très mal dans ses affaires. Aussi, Bordenave s’était-il hâté de prêter son théâtre et d’offrir un rôle à Nana, désirant se rendre le comte favorable, rêvant un emprunt.
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