Il ne restait dans la loge de Nana que Son altesse, le comte et le marquis. Bordenave s’était éloigné avec Barillot, auquel il recommandait de ne pas frapper sans avertir madame.
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Mignon assurait qu’on n’avait pas besoin de se presser ; il fallait vingt minutes pour poser le décor du troisième acte. Mais les deux cousins, qui avaient bu leur bière, voulurent remonter ; le froid les prenait. Alors, Mignon, resté seul avec Steiner, s’accouda, lui parla dans la figure.
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– Eh bien ! bon voyage ! continua-t-elle tout haut, quoique seule. Il est encore poli, celui-là, quand on lui parle !… Et moi qui m’escrimais ! Je suis revenue la première, j’ai assez fait d’excuses, je crois !… Aussi, il était là, à m’agacer !
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Justement, ce jour-là, comme Nana sommeillait vers deux heures, Zoé se permit de frapper à la porte de la chambre. Les rideaux étaient tirés, un souffle chaud entrait par une fenêtre, dans la fraîcheur silencieuse du demi-jour. D’ailleurs, la jeune femme se levait maintenant, un peu faible encore. Elle ouvrit les yeux, elle demanda :
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Et elle s’échappait. Mais il la retint, il voulait lui parler. Elle, lancée, répétait qu’elle n’avait pas le temps, lorsque d’un mot il l’arrêta.
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