– Oh ! que tu es bon, mon chat ! Tu sais, tout à l’heure, c’était par jalousie… Et cette fois, je te jure, ce ne sera pas comme la première, puisque maintenant tu comprends ce qu’il faut à une femme. Tu donnes tout, n’est-ce pas ? Alors je n’ai besoin de personne… Tiens ! il n’y en a plus que pour toi ! Ça, et ça, et encore ça !
Lire la suite de Alors, Fauchery, pour l’embarrasser (6)
– Lui ! ah bien ! ma chère, si vous croyez qu’il va monter !… C’est déjà beau qu’il m’ait accompagnée jusqu’à la porte… Ils sont près d’une douzaine qui fument des cigares.
Lire la suite de C’est trop, mon Dieu ! c’est trop (4)
Et, comme elle refusait de paraître, secouée encore, riant déjà pourtant, il ajouta d’une voix bourrue et paternelle :
Lire la suite de Tu sais, ma fille, c’est très sérieux, je garde l’argent (5)
– Croyez-vous que maman m’ait reconnu ? bégaya-t-il enfin.
Lire la suite de Oui, répondit l’enfant d’une voix étranglée
– Je ne veux pas crier, ce n’est pas mon genre… Mais c’est une fière salope tout de même. À la place de son mari, je lui allongerais une danse fameuse… Oh ! Ça ne lui portera pas bonheur. Elle ne connaît pas mon Fauchery, un monsieur malpropre encore, celui-là, qui se colle aux femmes, pour faire sa position… Du joli monde !
Lire la suite de Ah ! mon Dieu ! cria-t-elle Il y en a encore un là-dedans (7)