Non, dit le petit en blêmissant davantage (6)
Puis, elle indiqua du geste la porte de la salle à manger, et ajouta tout haut :
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Puis, elle indiqua du geste la porte de la salle à manger, et ajouta tout haut :
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– Alors, mon petit, reprit-elle, je ne sais pas ce que tu fiches chez moi… Tu m’assommes depuis deux heures… Va donc retrouver ta femme, qui fait ça avec Fauchery. Oui, tout juste, rue Taitbout, au coin de la rue de Provence… Je te donne l’adresse, tu vois.
Lire la suite de Une belle salle, ce soir ? demanda Fauchery (5)
Muffat s’était allongé dans le fauteuil, l’air assoupi, les membres las. Il dit oui, d’un signe. Nana le regardait, sérieuse, avec un sourd travail de tête. Assise sur une cuisse, dans le chiffonnage léger de ses dentelles, elle tenait l’un de ses pieds nus entre ses deux mains ; et, machinalement, elle le tournait, le retournait.
Lire la suite de Vous avez merveilleusement chanté votre ronde, dit le prince (4)
– Jamais ! déclara Nana, révoltée. Eh bien ! ils sont propres, les fournisseurs ! Est-ce qu’ils croient que je suis à vendre, pour acquitter leurs mémoires !… Vois-tu, j’aimerais mieux mourir de faim que de tromper Fontan.
Lire la suite de J’ai une inspiration… Je mets un louis sur Nana (5)
Ce fut tout son remerciement, elle le laissa partir. Il venait d’apercevoir Satin, allongée dans son attente silencieuse. Alors, il regarda les deux femmes ; et, n’insistant plus, se soumettant, il descendit. La porte du vestibule n’était pas refermée, que Satin empoigna Nana par la taille, dansa, chanta. Puis, courant vers la fenêtre :
Lire la suite de Alors, je le souffletterai en pleine rue (4)