Cependant, lorsque Labordette reparut et qu’il s’approcha du comte, Rose Mignon, mise en éveil par la présence de Nana, comprit tout d’un coup. Muffat l’assommait, mais la pensée d’être lâchée ainsi la jeta hors d’elle. Elle sortit du silence qu’elle gardait d’ordinaire sur ces choses avec son mari, elle lui dit crûment :
Lire la suite de Venez donc prendre un bock avec nous (3)
– Finis donc, les sergents de ville ! murmura-t-elle d’une voix changée. Rentrons vite, mon chat.
Lire la suite de Venez donc… On voit très bien de cette fenêtre (4)
– Ça, c’est vrai, dit-elle d’un air de conviction, l’amour avant tout.
Lire la suite de Nana eut le malheur de hausser les épaules Il devint furieux
Pour toute réponse, le cocher avait fouetté le cheval, qui monta péniblement une côte. Nana contemplait avec ravissement la plaine immense sous le ciel gris, où de gros nuages s’amoncelaient.
Lire la suite de Bordenave eut un soubresaut, en criant (4)
Et elle le trouva joliment laid. Tous les jockeys lui avaient l’air crétin ; sans doute, disait-elle, parce qu’on les empêchait de grandir. Celui-là, un homme de quarante ans, paraissait un vieil enfant desséché, avec une longue figure maigre, creusée de plis, dure et morte. Le corps était si noueux, si réduit, que la casaque bleue, aux manches blanches, semblait jetée sur du bois.
Lire la suite de Moi, madame ? répondit-il tranquillement, je ne complote rien (4)