Que disais-tu donc ? il est très gentil, ton frère (2)
– Ah ! chère madame, que vous êtes gentille !… Je tenais tant à vous avoir !
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– Ah ! chère madame, que vous êtes gentille !… Je tenais tant à vous avoir !
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Elle le grondait, puisqu’il n’était pas riche, très contente au fond de le voir dépenser tout pour elle, la seule preuve d’amour qui la touchât. Cependant, elle travaillait le drageoir, elle voulait voir comment c’était fait, l’ouvrant, le refermant.
Lire la suite de L’idée d’une pareille démarche révolta le comte (3)
– C’est comme ton frère, encore un joli coco, celui-là !…. Il m’avait promis deux cents francs. Ah ! ouiche ! je peux l’attendre… Ce n’est pas que j’y tienne, à son argent ! Pas de quoi payer ma pommade… Mais il me lâche dans un embarras !… Tiens ! veux-tu savoir ? Eh bien ! à cause de ton frère, je sors pour aller gagner vingt-cinq louis avec un autre homme.
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Vandeuvres poussait légèrement du coude Lucy Stewart, une très méchante langue, d’un esprit féroce, lorsqu’elle était lancée. Mignon, ce soir-là, l’exaspérait.
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Une queue dans l’escalier ! Francis lui-même, malgré le flegme anglais qu’il affectait, se mit à rire, tout en rangeant les peignes. Nana, qui avait pris le bras de Labordette, le poussait dans la cuisine. Et elle se sauva, délivrée des hommes enfin, heureuse, sachant qu’on pouvait l’avoir seul avec soi, n’importe où, sans craindre des bêtises.